
Mon respect pour la planète ne date pas d’hier. Ma pratique de classe a toujours intégré au mieux cet aspect et je tente de m’y engager chaque jour davantage. La planète souffre. Par notre action en classe nous pouvons contribuer à diminuer la pollution et donner l’exemple.
- Les photocopies : elles sont réduites au strict minimum tandis que les enfants écrivent un maximum.
- Fournitures scolaires : elles sont réduites au strict nécessaire afin de préserver la planète, le portefeuille des parents et le dos des élèves. Voir ici.
- Tout numérique : je tente de faire passer mes préparations pédagogiques au tout numérique avec l’achat d’une tablette (grâce à la prime informatique !….Il faut la cumuler deux-trois ans ….).
- Acquisition d’outils communs : dictionnaires, calculatrices, gros taille crayon… Je capitalise le petit budget alloué par le Mairie pour faire ces acquisitions. Cela présente l’avantage d’avoir le même outil pour tout le monde et de construire des séances plus aisément.
- Fichier numérique : Je ne fais pas acheter de fichier papier (dans lequel nous n’exploitons jamais l’intégralité) mais je projette un fichier numérique accessible gratuitement en ligne : iparcoursCM2 C’est un fichier publié par avec de nombreux exercices utilisables quelle que soit la méthode utilisée en classe. Il est publié par GENERATION 5 et est accompagné d’animations expliquant la leçon si nécessaire. Indispensable en cas de continuité pédagogique.
- Energie : le TBI est éteint lorsqu’il n’est pas utilisé (nous l’utilisons beaucoup tout de même), cela accorde un peu de répit à nos oreilles.
- Tri des déchets : Poubelles de tri dans la classe (voir ici) avec une petite formation faite aux élèves à la rentrée.
- Récolte d’outils usagés : Certaines associations récoltent les outils d’écriture qui ne sont plus utilisables, les recyclent et versent les bénéfices à différents organismes.
- Pas de cahier de brouillon : toutes les feuilles qui ont un dos vierge sont accumulées dans notre boite « brouillon », chacun y puise selon ses besoins.
- Pas de bacs plastiques : j’utilise uniquement des cartons de récupération
- Affiche : je me sers des nombreuses affiches dont nous sommes destinataires comme support de mise en commun lors de travail de groupes.
- Plastification limitée : je ne plastifie pas les jeux de cartes mais les imprime sur du papier plus épais : c’est meilleur pour la planète et occasionne moins de travail.
- Art visuel : c’est la discipline dans laquelle le recyclage est le plus évident et le plus ludique. Hormis de la colle, des pots de gouache et d’acrylique, je n’achète que très peu de matériel.